Bon. Il faut le dire, le chat roulottier c’est encore à travailler ! Mais finalement un chat est un chat : gros stress lorsqu’il y a quoi que ce soit qui bouge qui ne soit pas sauvage, dans ce cas on se cache et on ne sort plus le museau jusqu’à la nuit. Ce qui pose problème si les humains doivent partir… (merci Juliette d’avoir retrouvé Chopin !). Donc les bivouacs isolés sont bienvenus, et certains, moins confortables, s’avèrent délicats.
